Extraits de chroniques (portant sur la traduction française)
« Cette saga n'est pas
seulement scientifique : elle est aussi hautement politique. Liu Cixin passe
beaucoup de temps à décrire comment les humains se divisent ou s'organisent
face à la menace extraterrestre. Dans le troisième tome, cette dimension
politique est portée à l'échelle de l'Univers. Cela pourrait paraître ridicule,
mais Liu Cixin s'est donné les moyens de sa mégalomanie. »
Alexis Brocas, Le Nouveau Magazine
Littéraire
« De nos jours, la science émet
des hypothèses sur la cohésion de l’univers. La vision portée par ce roman nous
en présente une tout à fait passionnante, tout en ne reniant pas la théorie des
cordes à la mode depuis une décennie. Ainsi ce roman est pour moi une réussite
absolue de space opera, bien au-délà de tout ce qui a pu être écrit à ce jour.
La traduction de Gwenaël Gaffic mérite d’être mise en avant, car il allie
parfaitement la culture asiatique à la nôtre sans les trahir. Une merveille
littéraire absolue qui nous permet d’entrevoir les relations complexes entre
les dimensions. »
eMaginarock, le webzine des cultures
alternatives
« Liu Cixin nous serre la
gorge, nous embue les cils et nous donne à lire des pages hallucinées et
hallucinantes, surtout dans le dernier tiers du bouquin, pages qui nous donnent
le vertige. LA MORT IMMORTELLE fait partie de ces œuvres qui rendent jaloux et
condescendants. Jaloux de celles et ceux qui ne l'ont pas encore lue.
Condescendant envers celles et ceux qui refusent l'aventure. Tout simplement
grandiose... »
MicMac dans la bibliothèque
« Spectaculaire illustration
des apocalypses possibles, regard lucide sur un possible futur, ambitieuse et
passionnante fiction, ce troisième et ultime volet entretient un suspense
constant, à peine ralenti par les multiples et minutieuses descriptions des
cités du futur et des avancées technologiques qui le parsèment. Un
chef-d'œuvre. »
Jean-Pierre Fontanan, L’Écran
Fantastique
« Une
vraie épopée intergalactique, un roman-fleuve à la fois poétique et politique
qui questionne le passé comme le futur. »
Quatre
Sans Quatre
« Avec La Mort immortelle
(Actes Sud, 2018), cette incroyable fresque de science-fiction s’achève en une
apothéose grandiose. Retour sur une oeuvre qui pourrait bien marquer le genre
pour longtemps. Jusqu’à la fin de l’univers tel qu’on le connaît ? »
Guillaume Ledit, Usbek & Rica
« Paru en octobre 2018, le
roman La Mort immortelle conclut la trilogie de science-fiction de Liu Cixin.
Déjà incontournable, l'oeuvre de l'écrivain chinois dépeint la rencontre puis
le duel distant entre l'espèce humaine et une autre planète. Une odyssée
spatiale qui soulève des grandes questions sur l'univers et propose surtout des
réponses fascinantes. »
Simon Chodorge, L’Usine Nouvelle
« Et les questions qui les
hantent ne sont pas éloignées des grands débats qui agitent nos sociétés
contemporaines. Comme nous, ils doivent sans cesse composer avec le champ des
possibles, déterminé par l'état des sciences et techniques. Ferions-nous pour
autant les mêmes choix ? Rien n'est moins sûr. Car la Chine a développé au
cours des millénaires une vision du monde teintée d'une autre sagesse, où
l'amour et le sacrifice résonnent différemment qu'en Occident. La mort n'y est
ainsi pas forcément synonyme de fin. »
Azar Khalatbari, Sciences &
Avenir
« Dans des pages de vulgarisations
scientifiques de haut vol, avec une exactitude et une vue impressionnantes, les
personnages de Liu Cixin traversent les temps et les dimensions. Fusion
nucléaire, ascenseurs spatiaux, courbure de l'espace-temps, cryogénisation,
quatrième dimension sont passés au crible des dernières avancées scientifiques.
»
Meriem Djebli, Lire
« Pourquoi ce livre ?
Parce que c’est la conclusion d’une
trilogie désormais incontournable de la bibliothèque de tout amateur de
science-fiction.
Parce que s’il vous arrive de
regarder le ciel en vous posant la question « et si… ? », vous aurez désormais
une réponse (et quelques de lecture devant vous). Liu Cixin fait voyager son
lecteur dans l’espace et le temps comme lui seul sait le faire. Tout est dingue
et paraît pourtant plausible. »
20 minutes
« Je ne conseillerais pas de débuter la SF
par ce roman, mais si vous connaissez déjà un peu le genre et que
surtout, vous avez une curiosité pour ce qui pourrait exister dans notre
vaste univers, ce roman va vous époustoufler, vous exalter, vous transformer. Une aventure sans égale dont j’ai plus que hâte de lire la suite.
»
« En plus d'être poétique, le code trouvé par Liu Cixin est brillant, intelligent. C'est peut-être aussi une invitation à chercher dans ses œuvres autre chose qu'une fiction.
Ce troisième volume aurait pu facilement être divisé en deux ou trois, mais l'histoire méritait d'être racontée d'une seule traite. En plus des idées géniales, on a un très beau space-opéra avec des vaisseaux, des stations spatiales, des univers !. »
Zazaa Blog
Lien vers la chronique complète
« L’intrigue
de La mort immortelle surfe sur deux thèmes, le déclin inéluctable des
civilisations et la lutte inlassable pour la survie. Rien de fondamentalement
nouveau pour le lecteur de romans anglosaxons, preuve que la science et les
littératures qu’elle inspire rapprochent les peuples. Sur le fond le roman de
Liu Cixin se ressent de sa longueur. Mais les éléments réflexifs qu’il
développe sur l’Histoire et l’Univers font que la trilogie dans son ensemble
est incontournable. »
La Sortie est au fond du Web
La Sortie est au fond du Web
« Bref, à l’exception de
quelques passages ardus évoquant les dimensions supplémentaires que pourrait
comporter notre univers, « la Mort immortelle » est de nouveau un chef-d’œuvre
dont on tourne les pages avec ferveur. »
Michel Valentin, Le Parisien
« De la grande science-fiction.
Il y a vraiment une histoire mais aussi de la physique, un livre profondément
chinois, très politique. Pendant la Révolution culturelle, une petite fille est
témoin de massacres. Devenue adulte, désormais chercheuse, elle obtient la
preuve que l’on peut communiquer avec des entités extraterrestres, mais si le
gouvernement l’apprend, la Chine obtiendra la suprématie mondiale. Rien ne va
se passer comme prévu. »
Mathias Echenay, Ouest France
« Véritable laboratoire à l’échelle de l’humanité, ces livres du chinois Cixin déclarent de petits big bangs aux quatre coins de nos cerveaux, forcent nos univers mentaux à une folle expansion, parfois vertigineuse, toujours passionnante. Jusqu’à la toute fin, on se demande jusqu’où osera aller cet auteur passé maître dans l’art d’être complètement imprévisible. »
Librairie Gallimard de Montréal
Lien vers la chronique complète
« Pour dire à quel point ce tome m'a travaillée, à un moment (sur la fin),
je me suis mise à réétudier le système solaire et ses planètes, ainsi
que les étoiles de notre galaxie via Youtube (et ce n'était pas du luxe
de tout revoir en réalité^^). J'ai toujours été fascinée et intriguée
par l'univers, son immensité et son mystère, mais là j'ai été presque
sous le choc de la réalisation de la réalité de notre univers (telle
qu'on la voit et connaît du moins). C'est vertigineux quand on y pense
vraiment. »
Lectures sans frontières
« Une formidable histoire pour
tous les passionnés de physique et de SF, dans laquelle nous apprenons de l’humanité
et de la science à toutes les pages ! À lire à tout prix ! »
SF Mag
« S’il y a quelques longueurs
et si, parfois, certains personnages manquent de consistance, La mort
immortelle conclut une épopée de près de deux mille pages qui étend un
imaginaire scientifique et humain à l’échelle du cosmos, un space opera
réflexif où les rebondissements se succèdent, où l’on adopte brièvement le
point de vue d’un extraterrestre, où les repères se brouillent, où les lois de
la physique se tordent en direction d’un univers bien différent du nôtre. »
Sébastien Omont, En attendant Nadeau
« Suite
et fin de l'ambitieuse saga qui a révélé au monde la SF chinoise. Il a été
question de dissuasion dans le deuxième volume. Ici l'heure est à la
coexistence pacifique des deux civilisations qui se sont menacées jadis d'une
annihilation réciproque. Mais l'étrange prologue relatant la chute de
Constantinople, en 1453, interroge : cette dystopie raconte-t-elle notre
histoire ou la met-elle en perspective radicalement ? »
F.R.,
Sud-Ouest
« Ce
que je peux dire avec le recul, c'est que j'ai été encore une fois complètement
embarquée par l'imagination profuse de l'auteur, et sa capacité à maîtriser
cette imagination pour la rendre crédible. A partir d'énigmes de la physique,
l'auteur métamorphose l'impossible en évidence, utilisant la maîtrise de la
vitesse luminique ou des dimensions, la création de trous noirs, ou la
banalisation de l'hibernation comme combustibles d'une inventivité qui se fait
même parfois poétique. »
Book’Ing
« Farfelue,
l’idée d’entrer un jour en contact avec des extra-terrestres ? De plus en plus
de scientifiques envisagent cette éventualité et ses conséquences. Pour
l’écrivain chinois Liu Cixin, la découverte des humains par d’autres
civilisations serait une catastrophe. »
Books
« Au
fond, l'intrigue ouverte par Le problème à trois corps devient presque
secondaire au fur et à mesure que se développe l'ambition universelle de Liu
Cixin : sa SF ne questionne pas tant l'être humain et sa relation à la réalité
que la réalité elle-même dans sa nature physique. Les lois de la physique sont
un carcan impossible à dépasser pour l'espèce humaine, condamnée par la frappe
préventive des Trisolariens puisque d'autres civilisations dans la galaxie ont
jadis appris à tricher avec elles... »
La
Grande bibliothèque d’Anudar
« Outre son grand talent, cet
auteur a une autre particularité étonnante (qu’on pourrait rapprocher du
chocolat, par exemple) : il est antidépressif et une fois qu’on y a gouté on ne
peut plus s’en passer… ou très difficilement. Alors, ne résistez pas plus
longtemps… c’est aussi jouissif que des pralines Marcolini, mais nettement
moins mauvais pour la ligne (et moins cher) ! »
Clic Infos
« Liu Cixin
nous serre la gorge, nous embue les cils et nous donne à lire des pages
hallucinées et hallucinantes, surtout dans le dernier tiers du bouquin,
pages qui nous donnent le vertige.
La Mort immortelle fait partie de ces œuvres qui rendent jaloux et
condescendants. Jaloux de celles et ceux qui ne l'ont pas encore lue.
Condescendant envers celles et ceux qui refusent l'aventure. » Mic Mac dans la bibliothèque
« Au
final, c'est un coup de cœur pour cette trilogie qui m'a réconcilié avec le
style Hard SF. J'ai trouvé le récit de Liu Cixin captivant et atypique et bien
que la lecture de ce troisième tome soit, comme pour les deux premiers
d'ailleurs, assez exigeante, il n'en reste pas moins un récit remarquablement
original et passionnant. Vous l'aurez
compris, c'est pour moi un des meilleurs récits de SF que j'ai lu ces dernières
années, peut être pas accessible à un lecteur de SF débutant mais qui porte ici
une vision résolument différente des auteurs de SF anglosaxons. Une originalité
culturelle que l'on ressent clairement et qui est quelque part très
rafraichissante. »
Chut…
Maman lit !
Commentaires
Enregistrer un commentaire